dimanche 24 janvier 2010

Bernadette Malgorn : « l’emploi des jeunes est ma priorité »


Bernadette Malgorn fera de l’emploi des jeunes en Bretagne sa priorité absolue à la tête du Conseil régional, a déclaré samedi à Brest la candidate de la Majorité présidentielle qui visitait le salon des formations Azimut avec de jeunes Finistériens et des élus locaux. Sa méthode : décloisonner entreprises, écoles et centres de formation, développer l’orientation.

« Ici, en Bretagne, nous vivons un paradoxe extraordinaire : notre excellence universitaire est reconnue par tous, mais elle ne correspond pas au niveau de qualification des emplois proposés. Du coup, beaucoup de nos jeunes sont obligés de quitter la région. Voilà un vrai problème auquel nous devons apporter des réponses concrètes », a-t-elle expliqué au fil de la visites des stands.

Depuis son entrée en politique, Bernadette Malgorn défend l’idée d’un Breizh Campus visant à « décloisonner les mondes de l’entreprise, de l’université et de la formation ». Elle prône le recours à l’alternance et à l’apprentissage. Elle souligne aussi l’importance de l’orientation, qui doit être abordée dès le collège : « on nous dit que les jeunes sont démotivés mais c’est difficile d’être motivé quand on ne sait pas ce qu’on veut faire ! »

Sur ce sujet comme sur tous les autres, elle insiste sur la nécessité de parvenir à la parité hommes-femmes « dans toutes les filières ».

Bernadette Malgorn s’exprime avec passion sur un sujet qu’elle maîtrise parfaitement : directrice-adjointe du cabinet de Philippe Seguin, ministre des Affaires sociales et du Travail, elle a piloté la réforme de l’apprentissage en 1987. Préfète de Bretagne, elle est intervenue à de nombreuses reprises pour débloquer des situations difficiles, comme celui des Rimains, l’école de formation aux métiers de la Marine marchande, présente à Azimut après avoir failli disparaître.

A Brest, métropole maritime, Bernadette Malgorn a insisté sur la nécessité d’appuyer les formations sur le domaine de la mer. Avec en perspective les possibilités offertes par le Grand Emprunt voulu par Nicolas Sarkozy. « Il faut oser ! », a lancé à ses interlocuteurs la candidate qui prône les solutions « concrètes et pragmatiques ».

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jeudi 21 janvier 2010

Bernadette Malgorn : Libérer les énergies Créatrices !


Bernadette Malgorn défend avec vigueur la « liberté de créer et d’agir », une valeur « fondamentale », et regrette les obstacles dressés face aux porteurs de projets en se prononçant pour une « dé bureaucratisation » des procédures du Conseil régional.

« Je voudrais qu’on renoue avec cette Bretagne qui a été vraiment une terre de création », a lancé la candidate de la Majorité présidentielle à l’élection régionale, lors de son intervention à la Maison de l’Europe de Rennes et de Bretagne, mercredi. « Les créateurs, ils existent mais il faut arrêter de leur faire passer un tas d’examens de passage pour être autorisés à créer, à agir ».

Au système actuel d’attribution tardive de subventions au terme d’une succession d’études de faisabilité et d’impacts, Bernadette Malgorn dit préférer le principe d’une « avance remboursable » immédiate.

Elle souligne à ce titre que le Conseil régional « doit faciliter, doit permettre mais ne doit se substituer ni aux hommes, ni aux entreprises ni aux autres collectivités ».

« Je trouve qu’il y a eu une dérive bureaucratique du Conseil régional dans l’accumulation des procédures contraignantes et désespérantes », a-t-elle lancé sous des applaudissements nourris en promettant « d’inverser les choses ».

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Bernadette Malgorn expose sa vision des relations de la Bretagne à l'Europe


Bernadette Malgorn a exprimé avec passion mercredi sa vision de la relation de la Bretagne à l’Europe, laquelle doit redevenir « un projet collectif qui puisse de nouveau rassembler les enthousiasmes ».

Invitée de la Maison de l’Europe de Rennes et de Bretagne, la candidate de la majorité présidentielle à l’élection régionale a rappelé combien les valeurs portées par les « pères fondateurs » de l’Europe étaient partagées par les Bretons : la liberté, la justice, la solidarité.

« Il ne faut pas oublier que lorsqu’on on a voulu faire la construction européenne il s’agissait de reconstruire l’Europe de la liberté », a dit Bernadette Malgorn. « La construction européenne ne ne peut s’inscrire dans la durée qu’avec cet esprit de liberté ».

Au nom de la solidarité, « je proposerais que la Bretagne soit à la pointe de la parité et de l’égalité des chances entre les hommes et les femmes », a-t-elle lancé sous des applaudissements nourris.

Bernadette Malgorn a par ailleurs expliqué combien l’apport de l’Europe pouvait être fort dans les domaines à ses yeux prioritaires de l’économie de la connaissance et de l’environnement.

« En Bretagne, le cap de la grande Europe, les activités que nous allons pouvoir développer avec le maximum d’efficacité, ce sont les activités de matière grise. L’économie de la connaissance, pour nous, est une chance extraordinaire ».

La Bretagne « magnifique mais fragile » a « de grands défis à relever » dans le domaine de l’environnement, a poursuivi Bernadette Malgorn. « Ces défis, nous avons besoin de l’Europe pour les relever », a-t-elle ajouté en jetant les bases d’un Conseil régional « plus fédérateur que centralisateur », soucieux d’une « croissance soutenable », prêt à participer à la recherche de solutions collectives sans jamais se poser en « donneur de leçons ».

« Je suis fondamentalement convaincue que la construction européenne est politique ou elle ne sera pas », a-t-elle conclu, saluant la présidence française de l’UE qui a permis aux citoyens de constater que cette « Europe politique était relancée ».

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mercredi 20 janvier 2010

Formation : Bernadette Malgorn pour une réorganisation de l’orientation


Bernadette Malgorn s’est prononcée mardi pour une réorganisation du système d’orientation, lors d’une visite au CFA de Quimper.

La tête de liste de la majorité présidentielle à l’élection régionale, fervente militante de l’apprentissage, a fait part de « son engagement » pour réorganiser ce système « en prise beaucoup plus immédiate sur la réalité des métiers et en lien plus direct avec les professionnels ».

Elle entend faire une proposition « pour que les élèves soient aidés à être orientés dans leur choix de métier dès le collège ».
Accompagnée d’Yves Chatalen, président de l’Union Professionnelle Artisanale du Finistère, Pascal Cadieu, directeur général adjoint de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat du Finistère, Bernadette Malgorn a été reçue par Michel Guéguen, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat du Finistère et par Eric Josnin, le directeur de l’établissement. Il lui a présenté les travaux de restructuration en cours mais lui a aussi fait part de ses besoins complémentaires pour rénover la salle des sports.

Bernadette Malgorn s’est longuement entretenue avec des apprentis-fleuristes et des élèves des sections des métiers de bouche dont beaucoup rêvent de se spécialiser, d’autres envisageant de créer leur entreprise.

Certains d’entre eux ont mis longtemps avant de trouver leur voie, quitte à passer plusieurs années sur le banc des universités, sans entrevoir de débouchés dans leurs filières d’enseignement.

« C’est un exemple qui illustre le besoin d’une redéfinition de la politique d’orientation en Bretagne », a estimé Bernadette Malgorn qui milite pour un « Breizh Campus » qui permettrait de fédérer au niveau de la région les mondes de l’économie, de l’université et de la formation.

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mardi 19 janvier 2010

Bernadette Malgorn fait campagne en voisine


Bernadette Malgorn fait campagne en voisine .La candidate de la droite aux élections régionales en Bretagne n'a même pas eu à traverser la rue pour rejoindre le café où elle a entamé sa campagne,vendredi soir. L'ancienne préfète de région, qui habite désormais à Morlaix, a présenté son programme face à une soixantaine de personnes, converties ou non à ses idées. Certains étaient venus plaider leur cause, comme le directeur du théâtre de Morlaix, ou l'association Pour un petit port breton sympa, opposée à la construction d'un port dans la baie de Primel. Accent combattif, Bernadette Malgorn a mis en avant son identité bretonne. Et promis qu'elle ne serait pas une « élue de passage. J'ai tous mes livres, toutes mes affaires ici maintenant. J'habite là. Et si on veut me déloger, qu'on y vienne. »

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ENIM : Bernadette Malgorn soutient le projet d' Hélène Tanguy


Bernadette Malgorn soutient avec force le projet de déménagement en Bretagne de la direction parisienne de l'Etablissement national des invalides de la marine (ENIM) porté par Hélène Tanguy, maire UMP du Guilvinec et conseillère régionale de Bretagne avec qui elle s’en est entretenue ce jour.

La tête de liste de la majorité présidentielle au scrutin régional de mars souligne la cohérence que présenterait un tel transfert au regard de l'actuelle répartition géographique des structures de l'ENIM et de ses pensionnés. "J'apporte mon total soutien à la proposition d'Hélène Tanguy parce qu'elle est cohérente avec la répartition des tructures de l'ENIM et qu'elle permettra un rapprochement du centre de décision de la majeure partie de ses pensionnés.

Un tel transfert renforcera également la vocation maritime de la Bretagne", déclare la tête de liste de la majorité présidentielle à l'élection régionale de mars. Aujourd'hui, 120.000 personnes relèvent de ce régime de sécurité sociale des professionnels navigants, dont 40.000 en Bretagne et 30.000 en Normandie et dans les Pays de Loire.

Deux des trois centres de liquidation des prestations maladie de l'ENIM sont situés en Bretagne (Saint-Malo et Lorient). Ils couvrent 85% de l'activité. Le centre national de liquidation des rôles d’équipage est basé à Saint-Malo, le centre des pensions et le centre national des archives à Paimpol. Autant d'arguments pour faire venir la direction en Bretagne, sur un site qui reste à déterminer. Bernadette Malgorn appuie la démarche d’Hélène Tanguy auprès du Premier Ministre.

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Le PDG d'Armor-lux a été décoré par Bernadette Malgorn


Le PDG d'Armor-lux a été décoré par Bernadette Malgorn vendredi dans les locaux de l'usine. L'occasion de revenir sur un parcours exceptionnel.

Alors qu'il vient de recevoir la Légion d'honneur des mains de Bernadette Malgorn, ancienne préfète de région, et candidate aux élections régionales, Jean-Guy Le Floc'h, PDG d'Armor-lux, offre un retour en arrière aux amis qui l'entourent, ce vendredi soir dans un des bâtiments de l'usine.« Cette distinction, le l'ai appris un dimanche matin alors que je buvais un café avec Joëlle, ma femme. J'ai tout de suite appelé mes parents... » Yvonne et Marcel sont là. Discrets. Leur fils continue. « Cette médaille, c'est à eux que je la dois. Merci. » Jean-Guy Le Floc'h se rappelle d'un autre dimanche, il y a 39 ans.« Papa et maman me conduisaient à Chateaubriand, je rentrais en prépa à Rennes. J'étais tout seul à l'arrière de la voiture. Arrivé sur place, je me trouvais bien seul, désemparé. Je pleurais... »

Aucun pathos, le chef d'entreprise raconte cela avec un brin de nostalgie parce que, ce jour-là, il fait connaissance d'un certain Michel Guéguen. Un gars de Coray. « Maman a remarqué ce jeune homme de bon aloi, allongé sur la pelouse avec deux copains de Quimper. Tout de suite, il m'a accepté dans ce petit groupe. » Michel Guéguen est, aujourd'hui, le bras droit du PDG d'Armor-lux. Les deux hommes forment un binôme amical et efficace.

« Il n'y a pas de secret »

Avant ce signe d'amitié, Jean-Guy Le Floc'h remercie Joëlle, sa femme, et ses enfants.« Je vous ai volé beaucoup de temps. Mais c'était pour une noble cause, l'entreprise et les emplois. » Il n'oublie pas d'associer les salariés qui, plus tard, lui offrent un cadeau. Et son ami Jean-François Garrec, président de la chambre de commerce. Dominique Le Page, déléguée syndicale, prend la parole pour saluer le travail du duo Le Floc'h - Guéguen. Dernier remerciement à Bernadette Malgorn, qu'il a connu au temps où elle défendait le textile en Lorrain ; « Avec Guillaume Hemery (Datar), elle m'a aidé à tenir la barre contre vents et marées. »

« La rage de réussir »

Jean-Guy Le Floc'h délivre un message simple. « Ici, à la pointe de la Bretagne, nous sommes compétitifs. Tous les jours, nous prenons des marchés. Il n'y a pas de secret. C'est grâce à la confiance mutuelle et la force bretonne de cette belle amitié. »

Bernadette Malgorn s'attache à retracer le parcours de ce breton, né à Carhaix un neuf novembre 1953. Deux ans après, ses parents s'installent à Plozévet, une commune dont on dit qu'elle compte le plus d'agrégés au mètre carré ! Jean-Guy le Floc'h ne sera pas agrégé. Il fera mieux : Centrale et Stanford University (Californie).

Plus tard, ce sera la rencontre avec la Bonneterie d'Armor, fondée par Walter Hubacher. Crise du textile, inondations, nouvelle usine, nouveaux marchés. Les obstacles sont effacés les uns après les autres. « En raison d'un lobbying malin ? Non, parce que vous étiez les meilleures ! Et parce que vous aviez la rage de réussir ! »

Ouest France

Bernadette Malgorn aux côtés de Roselyne Bachelot à l'inauguration du Logipôle



Loudéac :La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a inauguré lundi 18 janvier le Logipôle hospitalier de Loudéac (22) en compagnie du député UMP Marc Le Fur, du maire de Loudéac Gérard Huet, les deux porteurs du projet, et de Bernadette Malgorn.

La présence de la tête de liste de la majorité présidentielle à cette cérémonie était une reconnaissance de l'action discrète mais essentielle de Bernadette Malgorn, alors préfète de la RégionBretagne, pour faire avancer ce dossier hautement sensible. « Sur le plan technique et juridique, le dossier a été piloté par Annie Podeur, directrice de l'Agence régionale de l'hospitalisation. Mais il y avait une réelle effervescence autour du maintien des hôpitaux de Pontivy et de Loudéac, avec des manifestations et des implications politiques », se souvient Bernadette Malgorn. « Sur ce dossier comme sur beaucoup d'autres, je suis intervenue discrètement pour permettre de faire avancer les choses ».


Ce déplacement était aussi l'occasion pour la tête de liste de la majorité présidentielle aux régionales de marquer son attachement à l'avenir du Centre-Bretagne. Elle a rappelé son « militantisme permanent » sur le dossier de la mise à deux fois deux voies de la RN164 entre Montauban-de-Bretagne et Châteaulin, « la seule priorité routière à laquelle je tiens » dans une
volonté de désenclavement, a-t-elle souligné.

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jeudi 7 janvier 2010

Hommage de Bernadette MALGORN à Philippe SEGUIN


« Je perds avant tout un ami auprès duquel j’ai enrichi mes convictions politiques et la France perd un grand homme d’Etat serviteur infatigable de la République », déclare Bernadette Malgorn proche collaboratrice de Philippe Seguin depuis 1986.

« Philippe Seguin avait une haute idée de la République. Pupille de la Nation, il avait la conviction que la République devait permettre à chaque citoyen de réaliser son projet y compris d’accéder aux plus hautes responsabilités. C’est au Ministère des Affaires sociales, où il me demandera de l’accompagner, que Philippe Seguin mettra le plus en œuvre ses convictions de gaulliste social. Il s’attaquera avec le courage et la détermination qu’on lui connaît à des dossiers aussi difficiles que la lutte contre le chômage, la réforme de l’apprentissage, l’emploi des handicapés et surtout la Sécurité sociale qu’il considérait comme l’un des piliers de notre pacte social qu’il fallait réformer pour la préserver», se souvient son ancienne Directrice adjointe de cabinet aux affaires sociales. « Cet engagement social se concrétisait sur le terrain dans sa circonscription d’Epinal, dans les Vosges et au plus fort des restructurations industrielles qui ont touché la Lorraine par une présence personnelle aux côtés des salariés et des entreprises concernées avec le souci permanent de défendre l’emploi et d’assurer un sort digne aux hommes et aux femmes concernés. »

« Aux sources de l’engagement de Philippe Seguin, il y avait ses profondes convictions gaullistes. J’ai toujours apprécié chez lui sa grande liberté d’esprit et de parole. Il ne trahissait jamais sa conscience. C’est ce qui l’a conduit par exemple à voter l’abolition de la peine de mort mais aussi à s’opposer au Traité de Maastricht. Contrairement à ce que l’on a laissé croire, Philippe Seguin n’était pas un anti européen, bien au contraire. Pour lui l’Europe ne pouvait être seulement un marché, encore moins une technocratie, mais une construction politique permettant une Europe sociale qui protège ses entreprises et ses salariés », assure Bernadette Malgorn.

« Elu député des Vosges à 35 ans, Philippe Seguin avait une haute idée du mandat qui lui avait été confié par le peuple. Accédant à la Présidence de l’Assemblée nationale en 1993, c’est naturellement qu’il mettra toute son énergie à rénover et valoriser le travail parlementaire. J’ai eu l’honneur de l’accompagner dans cette mission en dirigeant son Cabinet à la Présidence de l’Assemblée».
« De nouveau à ses côtés à la Cour des comptes où il avait débuté sa carrière, j’ai apprécié l’énergie et la finesse avec laquelle il a présidé cette haute juridiction en toute indépendance. Au delà de sa mission juridictionnelle, Philippe Seguin voulait faire de la Cour des Comptes, un lieu d’expertise et de propositions au service de l’Etat pour rendre l’action publique plus efficace, plus proche et surtout moins coûteuse pour les citoyens contribuables ».

« Ayant travaillé directement ou indirectement auprès de Philippe Seguin durant près de 25 ans, je peux témoigner du sens de l’engagement public de ce grand homme d’Etat au service de nos concitoyens et de l’intérêt général. Pour moi, Philippe Seguin, était un homme chaleureux, à l’écoute de tous, plein d’humanité. C’était là le cœur de son engagement », conclut Bernadette Malgorn.

Bernadette MALGORN
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lundi 4 janvier 2010

Bonne année 2010 ! Bloavez mad !


Chères amies, Chers amis,

En ce début d’année, mes pensées vont d’abord vers toutes celles et tous ceux qui touchés par la crise traversent des périodes difficiles. Je veux assurer chacune et chacun de mes vœux les plus chaleureux pour que 2010 vous redonne l’espoir et une vie meilleure.

A tous les Bretonnes et les Bretons, à tous ceux qui m’ont déjà témoigné leur amitié, mais aussi à celles et ceux que je n’ai pas encore rencontrés, je souhaite une très bonne et belle année.

Dans moins de trois mois nous serons appelés à élire une nouvelle équipe pour conduire la Bretagne. Cette campagne sera sous le signe du rassemblement, pour gagner et redonner confiance à la Bretagne en un avenir meilleur afin de permettre à chacune et chacun de s’épanouir dans sa vie personnelle et professionnelle, de créer, d’innover, de mieux vivre ensemble.

Pour gagner, j’ai besoin de votre soutien mais aussi de votre enthousiasme et de votre audace.

Rassemblons nous et En Avant la Bretagne.

Bloavez mad

Bernadette Malgorn